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Patronymes Collatéraux et familles alliées ...
Et tout particulièrement quelques Ancêtres " Epouses de Quiquerez " depuis 1650 ... pour lesquelles , lorsqu' il y a un lien , vous serez diriger sur la page des commentaires ou sites correspondants ...
Pour commencer restons coté Paternel ... |
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les Familles |
TOURNIER |
ma Grand Mere |
de Grandfontaine |
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PLUMEZ |
AR " |
de Grandfontaine |
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CORDONNIER |
niveau 4 |
de Grandfontaine |
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BECHAUX |
5 |
de Delle |
Famille de Porrentruy |
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JUBIN |
6 |
de Grandfontaine |
Origine Rocourt |
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PRETRE |
7 |
de Boncourt |
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VALLAT |
8 |
de Chévénez |
Origine Bure |
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TERRIER |
9 |
de Bure |
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- Sans oublier les FRIDEZ de Grandfontaine qui est le nom d' épouse de Jeanne QUIQUEREZ : l' ainée des enfants de Lucien et Berthe TOURNIER .
- les FOURTOT de Haute Saone : nom d' épouse de Denise QUIQUEREZ , la petite dernière des enfants de Lucien et Berthe TOURNIER .
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| Familles TOURNIER |
Le nom Tournier est apparemment originaire de plusieurs berceaux, les principaux étant centrés sur les régions Franche-Comté et Midi-Pyrénées.
D'après le livre de Laurent Fordant, Atlas des noms de famille en France, publié chez Archives & Culture, ce serait même un des 30 noms les plus portés en Franche-Comté depuis 1891, le département du Doubs et la ville de Besançon ressortant régulièrement comme les lieux de plus forte implantation au cours du siècle dernier.
Ce Patronyme très courant fait l' objet d' un site intéressant : http://www.tournier.org/ crée par Hubert de la branche du Jura Français ...Enrichit par les pages de quelques porteurs ou descendants dont : - Christian , de la branche du Doubs , qui n' en comporte pas moins de 1550 ! sa base est en ligne a l' adresse suivante :
http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=ctfc&lang=fr;m=N;v=tournier
- La notre , sur une page dédiée, concernant la branche Suisse :
http://www.tournier.org/fr/genea/claude/suisse.html
Dans cette branche : Berthe Catherine , ma Grand Mère , que l' on retrouve dans le paragraphe "Histoire de notre grand pere Lucien " ... nous permettra de remonter par les actes et le registre des Bourgeois de la commune de Grandfontaine jusqu' a Jacques né en 1650 .
Au delà , seul le " livre des noms de famille Jurassien " de Pierre Henri nous indique la présence :
1 . a Porrentruy vers 1529 de Pierre TORNIER et en 1568 Claude TOURNIER
2 . puis a partir de 1593 dans le village de GRANDFONTAINE Noel et Henri vers 1626 .
Très attachée a Grandfontaine ce n' est qu' a partir de 1900 que cette branche , enfants de François Emile , quitteront le berceau ancestrale pour s' installer a Beaucourt ( 90 ) . Elle se developpera ensuite sur Belfort , l' Alsace , la Suisse , le Doubs , la Haute Saone , la Saone et Loire , la région Parisienne , la Loire Atlantique et les Etats Unis …
La plus ancienne souche retrouvée est répertoriée sur la base de " 5 Villages des Bois " avec Henry né vers 1500 , Claude en 1546 et Servois en 1584 a Clairegoutte 70 ...
Une autre branche s' est également développée sur les communes de Phaffans et communes voisines (90) a partir d' un Nicolas marié en 1653 et d' un Jean né vers 1630 … Ce sont plus de 500 Tourniers ! dont les actes , disponibles sur le site : www.lisa90.org , couvrent une période allant de 1630 a 1800 et pour lesquels nous ne connaisons pas encore de base généalogique , en ligne , la répertoriant !
L' absence d' actes de naissance de Nicolas et Jean ne nous permet pas de trouver une souche commune avec notre branche Suisse ni de relier avec celle de Christian du Doubs ! Par contre nous relions par l' arrière petit fils de Nicolas : Georges marié en 1755 avec une Elisabeth Quiquerez de la branche Alsacienne répertoriée sur notre base spécifique QUIQUEREZ ...
L' avenir…… nous dira peut être qu' il y a une surprenant similitude entre la branche des Quiquerez d' Alsace avec celle des Tournier du territoire de Belfort : une origine commune de Porrentruy en Suisse pour émigrer en France vers 1650 ??? ce qui se reproduira 250 ans plus tard avec les Quiquerez et Tournier de Grandfontaine …
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Les armories retrouvées :
Le Dr André Rais a légué un paquet de fiches d'armoiries aux Archives Jurassiennes , sur une de ces fiches est notée l' armoirie "PLUMEY 1737" avec un cœur et 3 coupeaux en bas.
Ce blason des Plumez figure dans la collection de l'héraldiste Charles Emile Mettler, collection sur les blasons des familles bourgeoises de l'ancien évêché de Bâle.
Le blason se lit “ De gueules au mont de trois coupeaux d'argent mouvant de la pointe et surmonté d'un coeur d'or”
Le patronyme PLUMEZ ou PLUMEY vient du métier de marchands de plumes au sens de "duvet" et non pas de plumes d' oies destinées a l' écriture. |
| Depuis 2022 le nouvel armorial Jurassien, de Nicolas Vernot, nous apportent des compléments intéressants sur les écus et sceaux utilisés par les familles PLUMEY de Porrentruy cette fois avec :
Frédéric PLUMEY Chamoiseur X Anne Barbe sceau TdT 1691 / 1692 et 1713 / 1715 dont :
- Ignace X en 1715 à Anne Marguerite LAYTIE dont : Pierre Mathieu Boulanger X en 1751 à Marie Salomé FEUNE
- Barthélemy Maître boulanger et Voeble de Porrentruy sceaux Tdt 1733 / 1734
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| Famille CORDONNIER |
Nom de métier que l' on retrouve , dans le dictionnaire des noms de famille Jurassiens , avec de nombreuses variantes régionales issues du patois : Crevoisier , Coeurvoisier, Courvoisier , Corvoisier , Crovoisier ... des terminaison en " erat " comme Crevoiserat ... qui apparaissent a partir de 1347 dans la région de Porrentruy , c' est la forme Comtoise et la plus ancienne .
Quant aux origines de notre ancêtre Pierre elles viennent du Canton de Lucerne ( à Schötz ) sous le nom SCHUMACHER ! c' est le curé de Grandfontaine qui a Francisé ce nom en CORDONNIER . On retrouve ses enfants dans les actes de naissance avec des variantes comme : SCHEMACHER SCUEMACHER SCUEMACHRE SCUEMAKER ...
Les premiers membres de la famille étaient actifs depuis leur première mention à Lucerne (1431), principalement en tant qu'agriculteurs et tanneurs du cuir
Le blason ci contre retrouvé aux archives de l' état du Canton de Lucerne nous indique un Hans Melchior comme Bourgmestre du village de Schloss Willisau en 1638 ...
Un autre blason presque identique, une fleur de Lys remplace l' étoile à six branches, daté celui ci de 1508 nous permet de remonter les origines SCHUMACHER d' un siècle et demi dans le Canton de Lucerne .
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| Les CORDONNIER par mon AR AR grand mère Marie Barbe née en 1813 à Grandfontaine mariée à Pierre Mathieu QUIQUEREZ
De la branche Suisse trois cousins recensés avec :
- Jean Marie CORDONNIER : une lignée installée a Courtelevant 90 depuis 1700, deux ancêtres communs à Grandfontaine avec Jacques né en 1685 sa lignée et Jean Jacques son frère né en 1695 ma branche jusqu' a mon AR grand mère Marie Barbe née en 1813 à Grandfontaine ..
- Kathleen ROSE : son ancêtre Joseph CORDONNIER né en 1825 à Grandfontaine partira avec son épouse vers 1850 s' installer dans l' Ohio pour y fonder une grande famille ...
- Francis CORDONNIER : son AR grand mère née à Grandfontaine Adèle TOURNIER qui à quittée son village vers 1870 pour la France, une branche maintenant installée dans le Loiret dont les origines du Patronyme CORDONNIER sont de la Seine et Marne sans lien avec les Cordonnier de Grandfontaine ... pure coïncidence !
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| Familles BECHAUX |
Le livre des Noms de familles Jurassien de Pierre Henri nous indique :
- en 1430 Jean BAICHAT à Chévenez
- en 1468 Jean BAICHAUL Bourgeois de Porrentruy
- en 1504 Jean Humbert BAICHAULT à Coeuve
- en 1546 Jean BAICHAULX à Courchavon
Aux AAEB a la cote 103 J une généalogie de cette famille commence :
- en 1514 par Richard BAICHAUX né a Saignelegier
- vers 1550 Didier " natif de Seleute , admis a la Bourgeoisie de Porrentruy en 1579
- vers 1585 Hugues " né a Seleute et Bourgeois de Porrentruy
- en 1607 Jacques " né a Porrentruy 4 enfants avec lesquels il partira pour Belfort Fin 1638 après la naissance de son dernier fils :
- Laurent né en 1638 que l' on retrouve a Argesian 90 comme Meunier au moulin de Bavillier… Il engendrera trois branches qui se développeront dans le territoire de Belfort :
- celle de Jacques s' écrira BECHAUD et conservera cette orthographe avec un personnage célèbre qui a marqué la ville de Belfort : Jean Pierre ...
- celle de François BECHAUX pas d' info complémentaires !
- et jean Pierre BAICHAUX il sera aussi Meunier au moulin de Bavillier .
Le fils de Jean Pierre : Sébastien né en 1693 a Bavillier , dont le nom s' écrira BECHAUX ,
- marié a Belfort en 1719 , il repartit pour Porrentruy en 1723 comme " Tanneur " … ou il acquit , de nouveau , la Bourgeoisie en 1728 … et y deviendra " receveur municipal "
- il aura 11 enfants dont 10 naitront a Porrentruy entre 1723 et 1740 …..
Cette branche , désormais , conservera l' orthographe : BECHAUX , elle se fera connaître dans les métiers de "Tanneurs " et se développera sur Porrentruy : - ou existe encore la rue des Tanneurs …
- ainsi que la maison des Béchaux ! une famille Béchaux s' y réunie régulièrement ... voir leur site internet : http://bechaux.free.fr/
- ce Patronyme est indiqué " dans le livre d' or des noms de famille Jurassiens " d' André Rais .
Quant a notre Marie BECHAU née en Novembre 1772 a Delle 90 mariée avec Pierre Quiquerez ...
fille de Laurent dit de Porrentruy né vers 1741, marié a une Marie Anne MOUTET Installé avec sa famille il travaillera comme corroyeur a Delle 90 , métier du cuir également !! ou il est indiqué comme Colon sur le site de Lisa90 .
Une quête sur plus de 8 ans pour trouver un lien avec les BAICHAUX ...
Une piste sur Expoacte du CGAB : un Laurent BECHOT de Belfort marié a Marie Anne MATTET de COURGENAY dont une fille Marie Joseph née le 31/01/1772 a Delémont JU ! Troublantes ces similitudes ! Laurent BECHAU/BECHOT , Marie Anne MOUTET/ MATTET , même période, géographie proche, 11 mois d' écart entre deux enfants ...
Et puis un jour de Novembre 2014 un message d' un descendant de la famille BAICHAUX : Etienne BECHAUX a trouvé, par hasard, un acte de mariage aux AD de Besançon nous permettant enfin de relier ...
Etienne BECHAUX nous communique une remarquable et intéressante synthèse sur la "saga" de cette famille qui traverse l' histoire du Jura Suisse et du Territoire de Belfort sur 3 siècles dans laquelle on y trouve notamment ceci :
Jean-Pierre Laurent (Antoine) Béchaux (1741-1784) sera ouvrier tanneur à Besançon (pendant son apprentissage), y convolera avec une fille du pays de Porrentruy, et s'installera à Delle comme corroyeur.
Le cas de Jean-Pierre Laurent (Antoine) Béchaux illustre bien, si ce n'est d'éventuelles dissensions familiales, la prise de distance (sociale ?) que ce dernier prit (ou subit) avec Sébastien l'ancien et sa famille. Jean-Pierre Laurent (Antoine) Béchaux fait son apprentissage de tanneur à Besançon, mais pas à Porrentruy chez son oncle Sébastien l'ancien, qui est le frère aîné de son père. Il se marie à Besançon sans qu'aucun membre de sa famille ne soit témoin de son mariage. Une fois installé comme corroyeur à Delle à 8 kms de Porrentruy, il ne prendra aucun oncle, tante, cousin pour parrain ou marraine des ses enfants, à l'exception notable de Jeanne-Baptiste Béchaux, une des petites-filles de Sébastien l'ancien, célibataire dévouée et préceptrice de ses neveux et nièces de Porrentruy. Il est possible que sa relative inculture ne l'ait pas aidé dans ses relations avec ses cousins huppés de Porrentruy : il signe " Jan Pair " Béchaux sur le registre de mariage de Besançon. Par la suite sa seule fille adulte épousera un fils Quiquerez, famille de quelque renom à Porrentruy au XIX éme siècle. Sa veuve (il meurt à 43 ans) se remarie avec son apprenti, qui deviendra maître-tanneur, et aura pour petit-fils Jean-Baptiste Schaker (1808-1876) qui sera un architecte local renommé ; ce dernier construira des monuments civils et religieux : la synagogue et le temple de Mulhouse, l'église Saint- Etienne de Mulhouse, les églises de Zillisheim, Jettingen, Kingersheim, Pfastatt. Il réédifiera celle de Delle.
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| Familles FRIDEZ |
Ce patronyme nous intéresse a plusieurs titres :
1. c' est le nom de Jeune fille de nos cousines : Bernadette ma marraine , Madeleine et Marthe dont l' ascendance , enregistrée dans le registre des Bourgeois de Grandfontaine , remonte a Jean Fridez né en 1645 , Souche de cette branche ou l' on y retrouve bon nombre de mariages entre Fridez et Quiquerez ... tout comme avec la majorité des patronymes de cette région !
Ce nom de famille selon les documents linguistiques de la Suisse Romande apparait le 30 Juillet 1343 a Grandfontaine sous différentes graphies : Fridel , Fridez . Porté par un avoué Perrin le Fridel , dit le Fridez ... en 1401 Perrin Fridel , puis en 1463 Jean Fridez tous de Grandfontaine ! dont les descendants sont assurément de la souche décrite ci dessus ... sans pouvoir les relier par manques d' actes !
2 . Le livre de Pierre Henri les noms de famille Jurassiens nous révèle la présence vers 1609 dans un autre village a Bure de Pierre Fridel puis Jean Fridez en 1626 dont on retrouve la descendance dans le livre de Jeanne Baour Génalogie des Quiquerez-SAUNIER ... ou elle consacre un chapitre complet a cette autre branche nommée Fridez-Quiquerez , qui réapparait bien plus tard au Mairas a Bure vers 1725 , par un ancêtre de Celestin né en 1834 et marié avec une Quiquerez ! la descendance y est recensée , enrichie de commentaires et anecdotes ...
Dans l' état actuelle de nos recherches nous ne pouvons pas relier la branche des Fridez de Grandfontaine avec celle de Bure ! par contre on remarquera que les mariages avec les Quiquerez y sont également fréquents ce qui les relient indirectement ...
3 . en Etymologie Fridez voudrait dire : ami ! Voila donc les trois bonnes raisons de si intéresser ...
Avec les Quiquerez les Fridez font parties des plus anciennes familles de Grandfontaine .
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| Familles FOURTOT |
Denise QUIQUEREZ , la petite dernière des enfants de Lucien et Berthe TOURNIER : mariée a Maxime FOURTOT né a Audincourt (25) ... Une vie mouvementée pour Maxime :
Né le 19 décembre 1899, émigré aux Etats Unis avec ses parents, ses frères et sœurs les enfants seront rapatriés en France suite au décès tragique de leurs parents le 31 Janvier 1906 à New Rochelle ...
Maxime a combattu dans la première guerre mondiale à 15 ans, puis plus tard dans la seconde guerre mondiale, et l'underground ( résistance ) français. Il a servi en Algérie, et ensuite a combattu dans la première guerre d'Indochine, il est parti le jour de son anniversaire, le 19 décembre 1946, durant deux ans contre le Viet Minh, connu plus tard en 1955 aux États-Unis sous le nom de Viet Cong, dans et autour de ce qui est maintenant Danang . Il est mort en 1968 deux ans avant que son fils Pierre parte combattre dans la deuxième guerre d'Indochine, mieux connu comme la guerre du Vietnam qui se termina en 1975. Pierre s'est battu dans et autour de Danang pendant deux ans, tout comme son père…
Denise et Maxime émigreront en 1954, a leur tour, pour le Connecticut avec leurs quatres enfants ou ils fondèrent une grande famille que l' on retrouve principalement dans la région de New Haven , dont deux filles Suzanne et Liliane ainsi que Daniel et Pierre .
Notre point de départ :
- Le père de Maxime : Adolphe de Frédéric Fontaine en Haute Saône né en 1868 …
- Et le grand père : Georges Frédéric FOURTOT marié en 1857 a Catherine Rose CROISSANT .
La richesse de la base Généanet nous a conduit , entre autres , sur l' arbre de " Gaulois 25 " pour y découvrir son excellent site : 5 Villages Des Bois : Une base de donnée importante , bien construite ! nous donne par inscription un accès libre et gratuit aux dépouillements effectués par les membres bénévoles ….
Et voila ! nous y découvrons le nids des FOURTOT notamment sur Frédéric Fontaine et Clairegoutte ainsi que celui de bons nombre des familles alliées comme CROISSANT …
Son groupe du même nom sur Yahoo , dynamique et efficace ! nous confirme que le terme " d' entraide généalogique " n' est pas qu' un vain mot … de questions en réponses l' arbre se construit de jours en jours pour en arriver a Pierre né vers 1700 :
avec l' ascendance complète de Maxime en commençant par son père Adolphe :
La base généalogique de Patrice RAVELET " Gaulois 25 " récapitule toutes les branches concernées … avec notamment pour les FOURTOT : 13 Branches nous permettant par recoupements des actes et listes de recensement de remonter jusqu' a Abraham né vers 1630 ...
Sur le plan étymologique : · FOURTOT, Fourtat, Fortot. Le patronyme Fourtot, avec ses nombreux représentants, se trouve surtout à Héricourt, Montbéliard et Clairegoutte ; mais il existe aussi ailleurs. D'après toutes les apparences, et selon notre conviction, il doit signifier en langage montbéliardais : constructeur de fours (dans d'autres régions de France, on disait : fourtier. A Montbéliard, on appelait de même : toictot, ou toitot, celui qui faisait les toits ou les recouvrait). En 1432, Perin Fourtot d'Héricourt, est reçu bourgeois de Montbéliard. En 1450, les Fourtot travaillent déjà à Montbéliard, comme maçons. En 1509, le receveur Vautherelit fait figurer dans ses comptes une note payée à un maçon nommé Jehan Fourtot : "pour avoir bouché un pertuis". En même temps, Jehan et Georges Fourtot, maçons, sont payés pour leur travail à raison de 2 gros par jour. En 1548, un Pierre Fourtot est maître maçon à Montbéliard ; à la même époque, Renaud Fourtot est maître boucher ; en 1609, Girard Fourtot est maître tailleur. A partir du XVIe siècle, il y a des Fourtot à Clairegoutte ; en 1588, Perin Fourtot est parmi les sinistrés des Guises ; et ensuite les Fourtot se multiplient à Clairegoutte, Frédéric-Fontaine, Chenebier, Magny-d'Anigon, etc...
Quant au CROISSANT : la grand mere Paternelle de Maxime nous relions cette branche par Jacques encore une fois grâce a la remarquable base de "Gaulois25" pour retrouver l' origine de ce patronyme , dans les Vosges , avec Rémy né vers 1545 :
CROISSANT. Rémy Croissant, l'ancêtre de tous les personnages portant ce nom, dans notre pays, était l'un des seize fondateurs, en 1588, du village de Frédéric-Fontaine, appelé d'abord : tou nô vlaidge (le neuf village). Ce Croissant venait, d'après la charte de fondation, de Breroncourt (et non Bressoncourt) ce qui doit être Broncourt, actuellement en Haute-Marne. Il a eu des descendants non seulement à Frédéric-Fontaine, mais aussi à Clairegoutte, au Magny d'Anigon, à Héricourt, et en d'autres lieux. (G.P. - Par P. Croissant, "Une famille du Pays de Montbéliard, les Croissant de Frédéric-Fontaine", 267 pages, Montbéliard 1977).
Et voila la "saga" des FOURTOT et CROISSANT qui a commencée au XVII siècle par un mariage en 1668 : entre Abraham FOURTOT et Barbe CROISSANT .
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| Familles SAUNIER ... |
Le livre des noms de famille Jurassiens de Pierre HENRI nous indique que :
Les origines latines du nom : Salinatoris , comme signification ouvrier dans le sel ... Le sel était une matière précieuse dont la vente était réglementée et rigoureusement contrôlée sous l' ancien régime. L'impot était la gabelle ...
En 1413 Colin le SAUNIER de Chauvillier bourgeois de Porrentruy puis de St Ursanne 1430 Riot dit le SALNIE de Cornol
1478 Jean SALNYE de Porrentruy 1553 Jean le SAULNIE de Tavannes 1589 Richard SALNIER de Miécourt 1584 Vuillemin SAUNIER de Chévenez 1592 Hugues SAUNIER de Damvant curé de 1592 à 1617 1635 Jacques SAULNIER de Chévenez Avec depuis 1600 les déclinaisons les plus couramment retrouvées et utilisées : SAULNIER et SAUNIER
Un extrait du livre de Jeanne BAOUR " généalogie des QUIQUEREZ/SAUNIER " en fichier joint :
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On trouve deux branches principales avec Henri et Valbert vers 1618, à Damvant puis Réclère, que nous ne pouvons relier actuellement !
Et ce magnifique arbre de 1678 à 1976, réalisé par Paulette QUENOT et son mari Alois GRAFT, ci contre : |
| Et maintenant coté Maternel dans l' Oise ... |
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Les familles |
DEBRAINE |
celui de ma Mere |
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DAGUENET |
" Clé de voute " de la Famille !! |
Jules |
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CAILLE |
celui de mon épouse |
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| Familles DEBRAINE |
Léon : mon Grand Père , maternel , né en 1890 dans une petite commune proche de Montdidier dans la Somme a la limite de l' Oise , d' un père berger : Charles .
- Ainé d' une famille de 7 enfants dont 2 des 5 garçons périrent durant ou des suites de la guerre 14/18 ainsi qu' une des deux filles : Léonie
- ils s' établirent a Chambly avant 1910 qui en deviendra la commune principale ou l' on y retrouve : Noêl et Louis avec leurs descendants respectifs jusqu' a ce jour ….
- Léontine mariée a Raymond Béquin , dans la commune de Morangle 60 , dont une branche est installée sur Crépy en Valois avec leur fille Raymonde …
Quant a Léon il se mariera au Mesnil en Thelle avec Marthe Daguenet … en Juin 1914 .
- rappelé en Août pour la guerre comme Cavalier au 6ieme Cuirassier , il obtiendra une citation pour son courage durant cette période avant d' être libéré en 1917 .
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- En 1920 il rentrera a la SNCF grâce a son métier de forgeron mécanicien et sera affecté au dépôt de la Chapelle a la Gare Nord et deviendra par la suite chauffeur mécanicien grande ligne notamment en conduisant la Flèche d' or ...
il se distinguera encore une fois en établissant, a titre expérimental , le record de vitesse a 155 km/h avec la plus rapide des locomotives a vapeur sur la ligne Paris Bruxelles ...
La vapeur assourdissante, comme sortie des entrailles de l'enfer, l'odeur du métal brûlant, le jaillissement effrayant des flammes qui s'échappaient du gueulard, le foyer entrouvert, ou la trépidation du sol dès les premiers tours de roue, tout cela a créé à jamais une fascination et une passion mêlées de crainte et d' admiration !
De belles machines les machines à vapeur ! des trains de légende ... Un album : Léon avec ses loco ! |
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Les Ascendants :
- Charles Gédéon , un berger né en 1863 a Louvrechy 80 décédé entre 1930 / 35 né de père inconnu et de Léontine DEBRAINE née en 1839 a Maresmontiers 80 , elle accoucha a Louvrechy chez ses parents de deux enfants .
Le village de Maresmontiers sera le fief de notre branche sur plus de 5 générations de 1839 a 1700 .
- Jean Jacques, né en 1799 marié a Marie Joséphine de SAINT OMER de Grivesne 80, a Pierre dit Maurice né en 1697 a Mesnil St Georges 80 marié a Marie Anne de SAINT PAUL de Rollot 80 ...
Ce dernier couple au parcours atypique avec ce Pierre dit Maurice qui épousera une fille de notable de Rollot 80 dont le père et les frères seront des notaires Maurice travaillera à la manufacture des glaces Royale de Paris : https://archive.org/stream/histoiredelamanu00fruoft#page/n5/mode/2up Ils auront une vie relativement courte et mouvementée au point que l' on perd la trace des autres enfants ?
Notre branche commence avec le père de Maurice : Pierre Firmin né vers 1663 marié en seconde noce avec Anne COULON dans le village de Mesnil St Georges 80 situés a la limite de la Somme et de l' Oise ...
Les registres ne nous en diront pas plus ! il faudra se pencher sur les actes notariaux pour relier les souches qui commencent avant 1650 par Antoine, Charles, Robert, Pierre, Vincent, Martin, Dominique ...
C' est dans un cercle de 15 km formé par les villages de Maresmontiers , Montdidier , Maignelay , Brunvilliers la Motte , Ansauvilliers , Chepoix ... que se situe le berceau familial.
Sur le plan étymologique
Les variantes orthographiques que nous retrouvons fréquemment dans les actes , avant 1800 , sous la forme : de Brenne , de Braine ... avec parfois des S nous indique que l' origine est un nom de lieu et en l' occurrence le village de BRAINE sur VESLES dans l' Aisne a moins de 100 km de Montdidier .
Dans cette commune , Située a 18 km de Soissons sur la R.N. 31 reliant la région Parisienne à Reims dite route des Sacres, nous y retrouvons les origines avec né en 1030 :
- Gauthier de BRAINE ,nommé aussi Hugues Comte de Braine , marié en 1075 a Adelaïde de SOISSONS née en 1060 dont une fille
- Agnes de Braine née vers 1077 , Dame de Braine , mariée en 1100 avec André BAUDEMONT , Seigneur de Braine dont
- Agnes née en 1130 Comtesse de Braine mariée en 1152 avec Robert 1er Capet nommé le grand Comte de Dreux et du Perche dont
- Robert II nommé le jeune Comte de Dreux 1154 / 1218 dont entre autres :
- Henri de Braisne Archeveque de Reims 1196 ...
- Jean de Braisne Comte de Vienne et de Macon ...
- Pierre Mauclerc Chevalier de Braine et Duc de Bretagne ...
Il est établi maintenant que les origines de notre NOM sont bien de la PICARDIE ! Aine , Oise et Somme .
Cette région en est le fief et gardera jusqu' a nos jours le taux de natalité le plus important que nous retrouvons dans les actes , sur les nombreuses bases généalogiques et conforté depuis 1890 par les statistiques nationales mais, toujours, avec une prédominance pour l' Oise ...
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| Familles DAGUENET ... |
Jules DAGUENET né en 1858 , il habitera le Mesnil en Thelle , dans l' Oise , avec ses enfants :
- Marthe ma grand mère mariée avec Léon Debraine … Une fille unique : Simone , ma mère , mariée avec Roger Quiquerez …
- Blanche mariée a Pierre Fournier aura 7 enfants avec lesquels elle partira vivre a Belfort dont :
Madeleine mariée a Fernand Quiquerez , le frere de mon pere Roger ! c' est a leur mariage que ma mère connaîtra son futur mari : Roger … Roland marié a Andrée Seng dont une fille Nicole mariée avec Alex Buser !
puis Blanchette , Georgette , Germaine , Henriette et Gabriel .
Les six premiers formeront la branche de Belfort ou l' on retrouve les patronymes : Haumann , Muller, Lupfer et Franck avec les descendants Lacour , Faivre , Serra …
- Yvonne épousera Marcel Fort , né dans la Vienne d' ou la branche des Fort , Boulou , Judas et Baliziaux … Ils auront un fils : Jacques mon parrain ….et ses descendants a Beaumont / Oise .
- Paul marié avec Alice : 3 enfants Raymond , Lucien et Michel … la seule branche restante porteur du patronyme Daguenet avec Lucien et son fils Claude a Brest , Michel avec Jean-Michel et Marianne a Nice .
Tenanciers du café tabac de Bernes sur Oise Paul et Alice apparaissent sur quelques anciennes cartes postales du village et pour certaines aux éditions DAGUENET !!
- Georges et Louise : 1 enfant Roger sans descendant .
- Juliette avec Gaston Maupas : sans enfant
Les principales branches sont ainsi formées : DAGUENET DEBRAINE FORT FOURNIER et QUIQUEREZ .
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Maintenant voici l' ascendance : la souche et les racines de la famille " DAGUENET "
Pour la Souche revenons a Jules : dont le parcours est un jeu de piste …….
- Enterré au Mesnil en Thelle ou il était " garde champetre " …
- Décédé a Bernes sur Oise chez sa fille Yvonne et Marcel Fort
- Domicilié au Mesnil en Thelle dont 4 enfants nés dans la commune
- les deux premiers enfants sont nés a Laboissiere en Thelle
- Marié a Mortefontaine avec Horthense Longavenne née a Conteville 76390
- Né a la Chapelle St Pierre de :
Louis Nicolas 1829 marié dans la commune de Dieudonné , Né a Cires les Mello pour remonter a Valérien Martin né vers 1590 …
Ce village sera le berceau et le fief des Daguenet... parfois écrit Dagnet , et avant 1740 ne sera inscrit le plus fréquemment que sous la forme " Dagné " .
Ce sont des familles de vignerons , que l' on retrouve dans les actes jusqu' en 1600 , a causes des dégats causés par les incendies , dans les archives communales , les actes deviennent difficilement lisibles !
C' est de cette commune médiévale , au passé historique riche , que se terminera la Jacquerie ! la révolte des paysans !
Quant au Mesnil en Thelle : il ne sera le fief , de notre branche , que depuis 1890 … mais le restera pour l' éternité avec dans le cimetière le couples Jules et Hortense , leurs enfants : Paul et Alice , Georges et Louise , Yvonne et Marcel , Marthe et Léon , ainsi que mes parents Roger et Simone ...
Sur le plan Etymologique DAGUENET est inscrit dans le livre des noms de famille Jurassien de Pierre Henri !! ou il est écrit : ce n.d.f. apparait deja a Chévenez dés 1324 avec des variantes orthographiques Daguenel , Dagueney ... puis la famille ne figure apparemment plus dans les archives de l' Ancien Evéché de Bale . Peut etre s' est elle éteinte ?
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| Familles LONGAVENNE ... |
Horthense mariée a Jules Daguenet : mes arrières Grand parents maternelle … Comme son mari Jules , Horthense est décédée a Bernes sur Oise , chez sa fille Yvonne ...
Née en 1864 a Conteville dans la Seine Maritime a la limite de l' OISE a moins de 10 km de Monceaux l' Abbaye qui est le centre de cette région , nommée la picardie verte , ou l' on retrouve la majorité des porteurs de ce Patronyme dans les villages de Moliens , Romescamps , St Thibault , Bouvresse , Boutavent , Campaux , St Arnoux … tous situés dans un rayon d' environ 6 km ! a la limite de l' Oise dans une zone enclavée entre la Somme et la Seine Maritime .
Différentes orthographes sont relevées : Longavene , Longavenne, Longavesne , Longuavene , Longuavenne , Longuavesne et principalement " de LONGAVESNE " avant la révolution de 1789 sur le hameau de Boutavent la Grange 60 qui sera berceau familiale de notre branche pour la période antérieure a 1750 jusqu' a la limite des actes vers 1650 ...
Le nom de Longavesnes est aussi celui d' une commune située dans le département de la Somme (région de Picardie). Ce village appartient au canton de Roisel et à l'arrondissement de Péronne. Les habitants de Longavesnes s'appellent les Longavesnois et étaient au nombre de 104 au recensement de 1999. C' est la seule commune de France a porter ce nom ...
Le lien ci dessous nous donne des informations complémentaires sur ce Patronyme :
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| Familles CAILLE |
Commençons par la maman de mon épouse :
- Gisele BLIN née et habitant Grez (60) rencontre , lors d' un mariage a Crevecoeur (60) Robert DOBIGNY qui deviendra son premier mari , ils habiteront Muidorge ou est né Jean Claude . Robert part a la guerre et pendant ce temps Gisele seule fait fonctionner la batteuse qui était leur outil de travail ! les hommes du village lui donne un coup de main …
- Cette branche des BLIN commence avec un Adrien né vers 1660 ou bon nombre de cette lignée seront des berger ... leur fief se situe dans l' Oise a Hétomesnil :
A bois st Martin rattaché a Abbeville st Lucien il y avait un café appartenant a un DOBIGNY prénommé Charles ! ( mais pas de la famille a Robert : pure coïncidence ) , ce café est racheté par un certain Julien CAILLE (Caillé) qui habite Tillé prés de Beauvais !
Gisele qui recherche un chauffeur de loco, pour faire fonctionner la batteuse , s' adresse un jour au patron du café Julien CAILLE qui lui propose son fils : Roger !! c' était justement son métier ou ils habitaient … a Tillé .
Et voilà comment débute une histoire durant la guerre …
Ils habiteront Muidorge ou naquit Guy , le divorce n' étant pas prononcé Roger reconnaîtra ensuite Guy , puis ce fut l' exode … et après le retour a Muidorge … Roger retrouve du travail dans une ferme a Villeneuve les Sablons , près de Méru , ou il y restera caché pour échapper au S.T.O. Allemand !!!!
C' est un retour aux sources pour Roger : Villeneuve les Sablons est la commune ou son père Julien est né ! qu' il quitta pour aller se marier a Guignecourt ou naîtront ses enfants… et ensuite habiter " Tillé" près de Beauvais !
Vous connaissez la suite … mais certainement pas celle de vos Ancêtres que vous aller découvrir ci dessous ...
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Repartons de votre grand père Julien !!
Dans la commune de Villeneuve les Sablons que l' on retrouve dans les actes , jusque vers 1880 , sous la dénomination de : " Lavilleneuve le Roy " écrit aussi : La Villeneuve le Roy !
C' est durant la Révolution de 1789 qu' il a été décidé de changer le nom ! mais appliqué une centaine d' années plus tard ou l' on y trouve les actes qui nous permettent de remonter jusqu' a :
- Jean Baptiste né en 1810 a Berville 95 ( Canton de Marines )
Ensuite les archives départementales du Val d' oise pour les actes qui nous permettent de reconstituer la branche principale jusqu' en 1700 avec :
- Barthélémy né en 1678 sur Berville 95
au delà les actes existent mais ne sont plus vraiment lisibles pour notre niveau qui nécessiterait , afin de continuer , une formation en paléographie …..
Après recherches , sur internet , dans le site d' une association généalogique d' Ile de France , nous y récoltons les infos permettant de continuer cette branche jusqu' a :
- Guillaume né vers 1580 et toujours a Berville 95
Quant a l' hortographe du patronyme quelques variantes :
- Jusqu' en 1700 on le trouve écrit : Caillié…. , Callié…. et Caillé …
pour ensuite se stabiliser sous la forme plus connue actuelle de " Caillé " avec des terminaison en " é " souvent " er " voir " et " comme :
- Denis et Nicolas de 1750 a 1800 s' écrira avec " et "
- Vers 1800 la branche de la soeur de Jean-Baptiste : Honorine avec " er "
- et depuis 1800 Jean- baptiste et ses descendants choisirons le " é "
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