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Documents complémentaires ... Fichiers complémentaires a la rubrique " Documents " ...
en passant par la LORRAINE ... |
de QUIQUEREZ à QUIQUERÉ jusqu' à des KIKERE QUINQUEZ QUINQUEREZ sans Z ou avec deux E … et bien d'autres que nous n' avions pas soupçonnés comme PIQUARRé, PIGURY …
De la dérive orthographique a la dérive géographique cette branche nous à emmenée sur un parcours semé d' interrogations et de rebondissements ! à l' arrivée une branche bien connue qui à pour origine la Suisse avec un Jacques parti de Grandfontaine vers 1670 pour s'installer dans le Haut Rhin durant un siècle dans les villages de Montreux et Chavannes sur l' Etang ...
Son AR petit fils Henri né en 1740, soldat dans la légion de Nassau Sarrebruck, quittera sa terre natale pour se marier en 1781 et s' installer dans le village français de Moselle : Kerling les Sarrelouis proche de la frontière Franco allemande maintenant nommée Kerligen. ( sources : le livre des familles de Kerlingen ci contre)
Un enfant naîtra en 1785 : Michel marié en 1806 a Kerlingen avec Claudine DURBAN de Creutzwald , le père Nicolas DURBAN Greffier de la haute-justice et de la baronnie d'Überhernn, Notaire royal, " décédé aux galères ". ( sources: le livre des familles de Creutzwald ) Les parents Henri et Anna EHL décéderont avant 1816 à Kerlingen ... Après leur mariage en 1806 le couple, Michel et Claudine , s'installera dans les environs de Creutzwald d' ou naîtront 4 enfants dont Hugues le dernier né en 1817.
En 1815 après la défaite de Napoléon à Waterloo la France cédera plusieurs cantons à la Prusse dont leur village, qui deviendra Kerlingen en allemand dans la Sarre : En Lorraine, par le Traité de Paris (1814), la Moselle perd au profit de la Prusse plusieurs communes et hameaux, dont le Canton de Tholey ainsi que sept communes du Canton de Sierck-les-Bains. Même chose en 1815 ou le département perd les cantons de Relling, Sarrelouis, Sarrebruck et Saint-Jean qui deviennent allemands.
Dans les actes de la Moselle, à Buhl Lorraine et Sarrebourg, une famille de QUIQUEREZ : Jean Baptiste QUIQUEREZ directeur de verrerie marié a Marie Joseph LOMBARD, une branche également d' origine Alsacienne : Henri de Kerlingen et Jean Baptiste sont cousins ! un fils de Jean Baptiste : Félix Pierre partira s' installer à Prague en Tchéchoslovaquie ou l' on y retrouve une grande famille dont, entre autres, le peintre Croate Ferdo QUIQUEREZ ...
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| A partir de 1832 des actes de mariage et naissance indiquent que toute la famille de Michel à quittée la Moselle pour s'installer sur Paris : Charenton le pont, Bercy et le 8 ieme ... (On retrouve Hugues inscrit dans la dans la liste des Optants par acte du 03/05/1872 )
D' Henri né en 1740 jusqu' a nos jours c'est une cinquante de personnes que nous avons recensés dont Hugues, qui exercera la profession de Verrier à Bercy, avec deux de ses fils : Eugène et Hugues marié à Bilbao en Espagne vers 1865, quant à son petit fils François c'est dans la région de St Etienne qu'il sera verrier.
La verrerie dans la Loraine et surtout le massif Vosgien était bien connue, la renaissance du vitrail à Paris au 19ieme siècle laisse à penser qu' une cause de la migration de l'Est vers Paris était liée a leur métier tout comme les autres déplacements notamment en Espagne … et l' autre cause de migration, comme évoqué ci dessus, par le fait que la commune de Kirlingen soit cédée a l' Allemagne en 1815 ...
Nos recherches nous ont également entraînés sur la piste d' une autre branche installée en Lorraine principalement dans le triangle de Baccara Remiremont et Richarmesnil, région des verreries : une lignée de QUIQUERE dans laquelle on retrouve aussi beaucoup de variantes dans l' orthographe du Patronyme comme : KIKERE, KIKERAY, KIKEREZ, QUIQUEREZ, QUIQUERAIS etc ... avec en haut de la branche un Jean originaire de Grandfontaine dans le Jura Suisse qui a quitté sa terre natale vers 1700 ...
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| Georges QUIQUERE :
La branche de Michel et son fils Hugue donnera naissance à Georges QUIQUERÉ mis a l' honneur dans la ville de Gennevilliers en 2015 :
Né à Gennevilliers en 1921, aux Chevrins où il vit ses jeunes années, Georges poursuit ses études à Paris pour devenir monteur câbleur en électricité. Ses premiers engagements sont envers la jeunesse. Très actif au sein de la JOC, il fonde en 1937 au sein de « la Maison pour Tous » un club d'auberge de jeunesse. Il a 19 ans en 1940, quand il s'engage avec toute son énergie dans la Résistance. Réfractaire au STO en 1942, il travaille sous une fausse identité à la Compagnie industrielle des Téléphones. En 1943, à la suite d'une grève patriotique dans l'entreprise, il entre dans la clandestinité, multiplie les actions contre l'occupant nazi, jusqu'à son arrestation par la Gestapo à Asnières en compagnie de son épouse, le 6 avril 1944. Torturé, puis déporté en Allemagne, il sera libéré le 16 avril 1945. Après la guerre, secrétaire parlementaire du député-maire Waldeck L'Huillier, Georges Quiqueré est élu conseiller municipal en 1953 et constamment réélu jusqu'en 1977.
Intervention de Patrice LECLERC, Maire, Jeudi 1er octobre 2015, 18h30 :
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| Son fils Jean Claude :
- Jean-Claude QUIQUERÉ dit Jean-Claude SEINE est né en 1944 à Gennevilliers, ville ouvrière.Journaliste, reporter photographe à 20 ans, il collabore en tant que pigiste à l'Humanité, La Vie Ouvrière, Le Matin de Paris, France Nouvelle, Révolution, Antoinette, Le Peuple, Jeune Afrique. Il travaille aussi pour le Miroir Sprint entre autres. Membre de l'agence Snark International en compagnie d'Agnès Varda et de William Klein et de l'agence DPI à New-York, il participe à des expositions collectives et des ouvrages sur le monde du travail : "Un mois de mai très occupé" aux éditions Le temps des cerises ; "Acteurs du siècle" aux éditionsLe cercle d'art.En 1968, il est mandaté par La Vie Ouvrière pour couvrir la grève générale et les manifestations ouvrières.
Un commentaire de Jean Claude :
C'est bizarre d'avoir pendant des années des cartons d'archives photos rangés dans une pièce où je passe tous les jours. Cette masse repré-sente une grande partie de ma vie dont je suis devenu le spectateur privilégié. L'idée d'en tirer la substantifique moelle sous la forme d'une exposition a pris forme. C'est là que les choses se compliquent, le choix d'abord et ensuite la question qui tue : qu'est ce que j'ai bien voulu dire à travers ces reportages photos parus dans la presse des années 60/90 ? Quelle sera ma distance critique pour analyser ce regard sur la vie de la classe ouvrière dans les usines, ateliers, bureaux, chantiers et autres lieux ? Ce qui me frappe aujourd'hui, c'est encore le regard de ces travailleurs. Parfois triste, accablé, dur, interrogatif, parfois confiant et plein d'espoir ! Mais ce qui est pour moi une évidence, contre toute attente, c'est le rêve. Je cherchais le rêve. UN PROLETARIAT RÊVÉ.C'est peut-être ce rêve qui donne à certaines photos un côté décalé dans le temps. Ma fille me dit souvent : papa, tu as réussi à faire en 68 des photos de 36 ! Et ma femme ajoute : tu as une indulgence coupable vis-à-vis de la classe ouvrière ! Est-ce que le rêve était à cette époque comme aujourd'hui politiquement incorrect ?Le travailleur travaillait, le patron patronnait… Seul le fou et l'enfant avait le droit de rêver.
Jean-Claude SEINE
Galerie photos sur ce lien ...
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| Le livre de mes reportages en MAI 68. Un choix de 38 photos dans un "leporello" avec un petit livret contenant un texte sur Mai 68, signé Michel Onfray :
Titre : les fissures de l'occident
Un autre petit livret avec un texte de moi-même : mon parcours et les légendes des photos... Le tout dans un étui libre et républicain.
Titre : esprit rebelle
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| Jean Claude QUIQUERÉ à exposé entre autres a Valantigney prés de Montbéliard (25) :
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| | | de QUIQUEREZ à de QUIQUERAN de BEAUJEU ... |
Concernant Jean Baptiste QUIQUEREZ et son fils Félix Pierre qui a quitté sa terre natale pour se marier a Prague en Tchécoslovaquie vers 1790 dont une branche tout particulièrement, que l' on retrouve dans la généalogie des familles " de QUIQUERAN de BEAUJEU " des Châtelains de Provence ... ci contre une page de l' arbre .
Un correspondant Tchèque, Petr QUIQUEREZ, nous a communiqué des documents de famille " extrait des registres de baptêmes etc ..." avec la copie d' un acte, annoté par un cabinet d' avocat de Paris et délivré par la ville de Sarrebourg en date de 1994 ! dont les données ne correspondent pas avec les actes des registres paroissiaux numérisés que nous avons consultés en ligne dans les archives départementales de Moselle...
Ces éléments ont attisés notre curiosité pour enquêter... Vous découvrirez nos recherches, analyses et synthèses sur le document ci dessous :
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| Nos conclusions et remarques :
1° Une homonymie surprenante dans cette période couvrant de 1740 à la Révolution Française, avec une présence des deux personnages dans la même ville font que la confusion des deux individus fut une opportunité dans le sens ou :
- La famille du directeur de verrerie de la Plaine de Walsch: Jean Baptiste QUIQUEREZ étaient riches, faisaient partie de la haute bourgeoisie et fréquentaient les notables Mosellan jusqu' à Strasbourg …
- Quant au Capitaine Jean Baptiste de QUIQUERAN de BEAUJEU décédé en 1791 avec une fille décédée jeune laisse cette branche sans descendance …
2° La branche descendante de Ferdinand, qui traverse le 19 ième siècle en Europe centrale, attire notre attention sur le niveau social ! surtout des épouses respectives et tout particulièrement celle de son fils jean Baptiste ( encore une fois un Jean Baptiste !!) né en 1851 en Autriche, qui porte le titre de " Baronne de AICHELBURG" …
3° Il faut rappeler également que dans la descendance de Felix Pierre il n' y a que cette branche de Ferdinand Franz qui à pris le nom de QUIQUERAN de BEAUJEU ! tous les autres notamment celle des peintres : Ferdo , les STRASSER etc ... comme l' arbre généalogique d' Adriana indique QUIQUEREZ jusqu' aux descendants !
4° Sans oublier la nièce de Félix Pierre : la petite fille de Jean Baptiste, Louise Elisabeth mariée au vicomte Charles François Auguste de RAFÉLIS de BROVES 1773-1820 issu d' une lignée connue de la noblesse provençale ...
Nôtre intérêt est avant tout généalogique, avec une curiosité légitime, pour tout ce qui touche notre patronyme QUIQUEREZ et ses descendants ! On le retrouve dans les actes au fil des siècles sous différentes variantes orthographiques et parfois beaucoup plus éloignés que celle de QUIQUERAN comme entre autres KIKERE que vous trouverez en passant par la Loraine ... En fin de compte on reste dans la même famille !! Et c'est tout simplement depuis le 14 ième siècle celle des " QUIQUEREZ " …
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| Bibliographie :
Pour situer le périple de cette branche de QUIQUEREZ depuis 1600 une carte, ci contre, d' Europe centrale .
Partis de Grandfontaine dans le Jura Suisse a la fin du 17 ième pour s' installer en Alsace (68) jusqu' au milieu du 18 ième, avec un passage par Belfort (90), puis à Sarrebourg jusqu' a la Révolution Française que nous les retrouvons...
C' est a la fin du 18 ieme siècle que Félix Pierre partira se marier à Prague ou il installera sa famille, elle rayonnera sur tout le 19 ième dans l' empire Autrichien gouverné successivement par :
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En compléments quelques liens concernant : |
| Les contemporains :
Dans la descendance de cette branche, rep 6 et 7 page 9 image ci contre, qui couvre une période de 1950 à 2010 on découvre entre autres des familles émigrées en Argentine et justement sur Buenos Aires qui n' est pas s' en rappeler la branche des QUIQUEREZ de Pédro Luis pour lequel nous avons des pistes pour le relier aux branches connues et répertoriées.
Ils sont contemporains d' une même ville ne se connaissant pas, de raison sociales différentes, ne portant pas le même nom et pourtant ils sont loin de se douter qu' ils ont des origines communes et qu' ils devraient porter le même patronyme qui ne sera toujours que "QUIQUEREZ" ! quelques soit l' époque et sous tous les cieux...
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| La bande à BONNOT | Le quotidien Jurassien :
Merci a Joël ETIQUE, président du CGAEB, pour les 6 parutions dans la rubrique « Feuilleton de la semaine » avec comme titre :
« la généalogie pour faire connaissance avec sa famille élargie »
La 6 ième et dernière parution , ci contre, attire notre attention sur les personnages « célèbres pour le meilleur et pour le pire » avec une anecdote portant sur les liens familiaux, entre Jules BONNOT de « la bande a Bonnot », et des habitants du village de Réclère …
Merci également à notre cousine Marie Claire MOUCHE, assesseur du cercle, dont la renommée n' est plus à faire, de nous avoir attiré l' attention sur ce fait que nous avons vérifié !
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De Jules Joseph BONNOT jusqu' au "Brigades du Tigre" ...
Anarchiste il fut le meneur de "la Bande à Bonnot" ! Un groupe illégaliste ayant multiplié les braquages et les meurtres en 1911 et 1912 démantelé par "les brigades du Tigre" ...
En remontant la branche jusqu' a Marie Catherine Jolisaint de Réclère en Ajoie CH on entre directement dans la branche de nos ancêtres Ajoulots les Jolissaint, Comment, Fridez et Bobillot sur une période de 1700 à 1600 avec 6 de nos Sosas dont :
- Jean Jolissaint le Sosa 650 son épouse Jeanne Boblillot le 651 et leurs parents 1300 et 1302 tous les quatre de Réclère ...
- Jean Comment le 568 de Réclère son épouse Elisabteh Fridez le 569 de Grandfontaine ...
Nos liens de Parenté
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| Pour infos sur les recherches :
A l' exception de l' acte de naissance de Jean Jacques Jacob né en 1678 à Réclère que nous ne retrouvons pas dans Expoactes du CGAEB nous confirmons les données pour les autres personnes d' Ajoie a partir de Marie Catherine Jolissaint son Sosa 35 .
Nous n' avons pas étendus nos recherches sur la descendance de cette dernière jusqu' a Jules Bonnot étant donné que nous faisons confiance à généastar …
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